2003

Jean–Pierre Frigon stimule l’apprentissage de l’histoire au moyen de nombreuses activités pédagogiques parmi lesquelles des présentations, des projets, des excursions et des échanges impliquant directement ses élèves.

Nancy Hamer Strahl met l’accent sur la réussite de ses élèves en cherchant à leur faire découvrir le lien entre eux et l’histoire canadienne des guerres, et ce, à l’échelle locale et mondiale.

Bev Milobar-den Ouden a créé un projet d’enquête sur l’histoire locale, dans le cadre duquel les élèves ont utilisé la pensée critique pour établir des liens entre le passé et le présent.

Lors du projet de reconstitution du Jubilé d’argent, les élèves de Joe Stafford ont créé des panneaux d’exposition et organisé une activité culturelle pour célébrer le 60e anniversaire de la Confédération. 

Membre de la Première nation Chemainus de l’île de Vancouver, Mme Tenning intègre sa culture dans son enseignement. Elle encourage l’apprentissage pratique au moyen d’excursions pédagogiques et d’études environnementales.

Mike Ward estime que l’expérience est toujours la meilleure école et c’est ce que le Village des pionniers, dans son cours d’études sociales, procure aux élèves.

Rhonda Draper croit que l’apprentissage est facilité par l’expression musicale chez les jeunes. Dans son plan de cours intitulé « Canada: On the Wings of Our Song », elle concrétise ce principe pédagogique en présentant des chansons du folklore.

Mme Fine Meyer a créé un cours interdisciplinaire à l’intention des élèves du secondaire de deuxième cycle intitulé « Archives and Local History » (archives et histoire locale), cours qui a été accrédité dans le cadre du programme d’études de l’Ontario.

Susan Haynes a créé le « Passport to the Past » (passeport vers le passé), un projet qui invite les élèves de 7e année à mener des recherches sur des personnages historiques et à se mettre dans leur peau. Les élèves créent un passeport, un costume d’époque à l’aide d’objets domestiques, et établissent un lien entre ce personnage et eux–mêmes.

John MacPhail est un fervent partisan de la « controverse constructive ». Dans son projet, un faux procès de William Lyon Mackenzie, il contribue à développer l’esprit critique de ses élèves et les aide à remettre en question certaines hypothèses.