Mya D.

Dryden, Ontario

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Le chemin de la liberté

Le chemin de fer clandestin n’était pas réellement un chemin de fer. C’était un réseau de maisons sauves ainsi que des routes secrètes. Notre projet explique le rôle qu’Harriet Tubman a eu avec la création du chemin de fer clandestin. On a mis l’emphase sur les esclaves noirs et comment ils ont pu retrouver le chemin de la liberté, au Canada.

Quelle est la chose la plus intéressante ou surprenante que tu as appris en préparant ton projet et en effectuant ta recherche ?

Nous avons vraiment aimé apprendre à propos du folklore de ce temps. L’idée que des chansons et des patrons dans les courtes pointes puissent aider les esclaves à retrouver la liberté nous a vraiment impressionnés. Il a fallu vraiment porter attention aux mots des chansons comme Steal Away pour remarquer les indices possibles.

Quelles sont les informations les plus importantes à retenir de ta recherche que tu aimerais partager avec les autres Canadiens ?

Nous avons appris que le Canada a été une aide immense dans le developpement des droits de la personne; le droit à la liberté surtout. Notre pays valorisait, comme maintenant, les différences culturelles. C’est ce qui a aidé à former le pays dans lequel nous vivons aujourd’hui.

Peux-tu comparer ta vie aujourd'hui avec celle de celui ou ceux qui sont présentés dans ton projet ?

Notre vie aujourd’hui est guidée par une charte de droits et libertés qui n’existait pas dans le temps du chemin de fer clandestin. Même si le racisme est encore présent de nos jours, il n’existe pas à l’extrême commme ce fut déjà le cas, du moins au Canada. Il y a une sensibilité positive envers différentes cultures maintenant. Les gens de notre projet vivaient avec la peur de se faire battre ou tuer tous les jours à cause de la couleur de leur peau. Nous vivons sans peur. Nous pouvons aller où l'on veut quand on veut. Nous sommes complètement libres.